Autre interprétation possible des déclarations : Peut-être qu’il fallait faire comprendre aux ravisseurs qu’ils sont identifiés, cernés et qu’ils n’avaient qu’à libérer Soumaïla pour ne pas se faire prendre.En attendant qu’il y ait une issue heureuse, l’inquiétude reste pour tous ceux qui ne sont pas dans le secret de dieux. Le vrai malien, tout vrai malien doit savoir que cet enlèvement est une catastrophe parce que, survenu au cours d’élections nationales le 25 mars 2020 dans la zone de Zoumaïra Niafunké. Attention au communautarisme qui pourrait en découler.Gloire à Dieu dans les cieux très hauts et Paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée. Mais, malheureusement, la démission n’est pas encore dans la culture de ce pays. Ou alors il était permis d’interpréter que Soumi est entre leurs mains mais que pour une raison ou une autre, peut être raison de santé, sa libération trainait. Plus de trois mois, on ne connait ni les ravisseurs, ni leurs motivations.
Bocar Cissé, fils de Soumaïla Cissé à À IBK : ... Comme vous le savez, je n’ai pas l’habitude de m’exprimer dans les médias. Mais hélas, la vie est ainsi faite avec des hauts et des bas comme si cela répondait du … Plus de trois mois, on ne connait ni les ravisseurs, ni leurs motivations. Malheureusement, l’espoir suscité par les propos de ces deux hautes personnalités semble tourné au scepticisme voire au pessimisme parce que jusqu’en ce jour 2 juillet 2020, aucune libération. Mais, malheureusement, la démission n’est pas encore dans la culture de ce pays. Le vrai malien, tout vrai malien doit savoir que cet enlèvement est une […] Bocar Cissé fils aîné de Soumaila Cissé Bocar Cissé, ... Bocar Cissé, fils de Soumaïla Cissé à À IBK : ... Cissé, garde rapproché de mon père qui est décédé lors de l’enlèvement. Les liens de sang me poussent aujourd’hui à prendre la parole, voire à m’exposer avec l’ambition d’obtenir la libération de notre père. Ainsi donc, il ressort clairement que ceux-là qui ont en charge la responsabilité sécuritaire du pays détiennent la responsabilité première du rapt de Soumaïla. Donc, devrons-nous nous attendre à une libération en catimini ?Maliens que nous sommes, il faut bien comprendre ceci : si on ne fait pas attention, cet enlèvement de Soumaïla risque à la longue d’ouvrir une crise très grave dans notre pays parce qu’il est diversement interprété. Soumaïla Cissé Soumi, l’honorable Soumaïla Cissé, le fils prodige de Banikane et de Niafunké ne méritait pas un tel sort. Soumaïla Cissé Soumi, l’honorable Soumaïla Cissé, le fils prodige de Banikane et de Niafunké ne méritait pas un tel sort. Avec l’intervention du sage et ancien premier ministre Ousmane Issoufi Maiga , Président du comité de crise chargé de la libération de Soumaila , l’espoir était permis pour être convaincu de la libération de l’Honorable. Déjà des femmes ont marché à Bamako, on a marché à Niafunké. Si l’on devait faire des analyses par rapport aux déclarations du premier ministre Ousmane Issoufi Maiga et du Président de la République, on aurait abouti à cette conclusion : la libération de Soumaïla était acquise et le reste n’était que procédurale. Les premiers pleurs et inquiétudes, c’est eux. Nul n’aimerait être ni à la place de ses parents ni à la place de sa famille et de tous ses proches. Les propos de Ousmane Issoufi Maiga ont même été corroborés par le Président de la République qui a même précisé que l’identité des ravisseurs est connue et que Soumaïla sera libéré. L’homme a exercé plusieurs fonctions dans ce pays et il a honoré le Mali partout où il a exercé. Déjà des femmes ont marché à Bamako, on a marché à Niafunké. Il se peut donc que les ravisseurs agissant pour des motifs inavoués ne voudraient pas se faire identifier au risque de compromission. Soumaïla était en mission d’Etat « fasso baara », Soumaïla, c’est la tête de file de l’opposition. Soumaïla était en mission d’Etat « fasso baara », Soumaïla, c’est la tête de file de l’opposition.L’homme a exercé plusieurs fonctions dans ce pays et il a honoré le Mali partout où il a exercé.
Attention au communautarisme qui pourrait en découler.Gloire à Dieu dans les cieux très hauts et Paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée.Soumaïla Cissé Soumi, l’honorable Soumaïla Cissé, le fils prodige de Banikane et de Niafunké ne méritait pas un tel sort. Autre interprétation possible des déclarations : Peut-être qu’il fallait faire comprendre aux ravisseurs qu’ils sont identifiés, cernés et qu’ils n’avaient qu’à libérer Soumaïla pour ne pas se faire prendre.Maliens que nous sommes, il faut bien comprendre ceci : si on ne fait pas attention, cet enlèvement de Soumaïla risque à la longue d’ouvrir une crise très grave dans notre pays parce qu’il est diversement interprété.
Les propos de Ousmane Issoufi Maiga ont même été corroborés par le Président de la République qui a même précisé que l’identité des ravisseurs est connue et que Soumaïla sera libéré. Les premiers pleurs et inquiétudes, c’est eux.Avec l’intervention du sage et ancien premier ministre Ousmane Issoufi Maiga , Président du comité de crise chargé de la libération de Soumaila , l’espoir était permis pour être convaincu de la libération de l’Honorable. Si l’on devait faire des analyses par rapport aux déclarations du premier ministre Ousmane Issoufi Maiga et du Président de la République, on aurait abouti à cette conclusion : la libération de Soumaïla était acquise et le reste n’était que procédurale. Et pourtant, les plus hautes autorités du pays avaient laissé croire que la sécurité est garantie dans tout le pays pour mener une campagne électorale.
Malheureusement, l’espoir suscité par les propos de ces deux hautes personnalités semble tourné au scepticisme voire au pessimisme parce que jusqu’en ce jour 2 juillet 2020, aucune libération.Si l’on devait faire des analyses par rapport aux déclarations du premier ministre Ousmane Issoufi Maiga et du Président de la République, on aurait abouti à cette conclusion : la libération de Soumaïla était acquise et le reste n’était que procédurale. Le vrai malien, tout vrai malien doit savoir que cet enlèvement est une catastrophe parce que, survenu au cours d’élections nationales le 25 mars 2020 dans la zone de Zoumaïra Niafunké.