Paul Valéry « Nous autres, civilisations, nous savons que nous sommes mortelles ». Cet élément fut enfin vaincu, c'est-à-dire qu'il fut organisé, mathématisé, et, il y a environ neuf cents ans, notre " Lex Sexualis " fut proclamée : " N'importe quel numéro a le droit d'utiliser n'importe quel autre numéro à des fins sexuelles. " Il n’y a aucune vie affect ive et vie intérieure à Pangbourne. Quand tout va bien, il ne se passe rien et il n’ y a rien à raconter. Dans les contre utopies les inégalités riches / pauvres sont parvenues à un point extrême.Boris Cyrulnik dit que l’utopie c’est l’interdiction du bonheur et de l’originalité « Toute tentative d’aventure personnelle, comme l’art ou la psychologie est considéré comme un blasphème envers celui qui a créer la société idéale. Des listes d'ouvrages sont présents sur de nombreux sites, tels que : La dystopie est un terme plus récent, crée plus tard et plus rare. De nombreux personnages portent le même nom. Tout au long du 19 ème siècle, l’avenir est radieux, les sociétés sont égalitaires grâce au progrès technique. Ce genre est souvent lié à la science-fiction, mais pas systématiquement, ca… Et, de peur que la tentation diabolique ne leur prenne de s’instruire, nous défendons aux pères et aux mères d’enseigner à lire à leurs enfants.
Rapprocher l'univers dystopique du nôtre, c'est un moyen pour l'auteur de rendre sa dénonciation plus efficaceAnticipation, mouvement rationnel de l'Histoire : ces caractéristiques rapprochent naturellement le projet dystopique de la science-fiction. Gavroche, fusillé, taquinait la fusillade. Ce genre fictif découle de la période qui suit la Révolution française, bien qu’il y ait des antécédents. Certains critiques toutefois utilisent simultanément plusieurs de ces termes pour opérer des distinctions plus fines. L’Homme se rêve en surhomme. Il poursuit une scolarité hésitante entre médecine et littérature. On se méfie alors de l’utopie . L’individualisme, la différence sont perçus comme pathologiques. Une histoire du sonnet de langue...Le livre est défini par Littré comme une réunion de plusieurs feuilles servant de support à un texte manuscrit ou imprimé. Cependant, l'existence de dystopies dont la cible est différente comme D'autres critiques envisagent la dystopie comme un genre essentiellement conservateur et réactionnaire, œuvrant à l'encontre des forces du progrès social. Dans le meilleur des mondes les noms des personnages célèbres pour la plupart des contemporains de l’auteur. Entraînez-vous !
Evgueni Zamiatine. L'individu, ses activités, ses pensées, y sont intégralement soumis à une raison d’État omniprésente et motivée par la volonté de pouvoir pure.Dans le futur décrit par Bradbury, les pompiers brûlent les livres, les gens sont invités à dénoncer leurs voisins, leurs amis et même leurs parents lorsqu'ils les surprennent à lire. ( la mort de Staline le 5 mars 1953 ). Nous autres dépeint l’histoire de D-503, un homme du futur dont le destin est déjà tout tracé. En mars 2011, Marianna Celka et Bertrand Vidal, deux critiques de Ballard écrivent : « Explorant la face cachée de nos agglomérations urbaines tentaculaires, excellant dans la figuration et la description d’individus en apparence normaux appartenant à la dite classe moyenne policée et sur la laquelle repose le système consumériste et contemporain , mais, enclin à la fascination, à la violence, et aux perversions sexuelles, les romans de James Graham Ballard sont le modèle type de la dystopie. Les œuvres de Huxley, Orwell, Zamiatine ou Silverberg soulignent le caractère superficiel des changements que les États contemporains ont pu imposer à la nature humaine. À partir du moment, bien sûr, où ils ne remettent pas en cause le système. Ecrit au moment même où la dictature communiste se mettait en place il dénonce la manipulation et la surveillance outrancière du peuple grâce au développement technologique, visionnaire il anticipe un monde imaginaire sous contrôle, un état unique paranoïaque, qui révèle de flagrantes similitudes avec notre époque. Une dystopie peut également être considérée, entre autres, comme une Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont souvent tendance à faire croire qu'une dystopie est, par définition, la description d'une Cette forme littéraire a été popularisée par des romans devenus des Le genre a connu des déclinaisons dans d'autres domaines artistiques, notamment au Ainsi, la dystopie s'oppose clairement à l’utopie (terme forgé par l'écrivain anglais Dans la dystopie, le projet utopique est présenté comme réalisé : les bonnes lois sont appliquées et tout le monde est donc censé être heureux. Par exemple : Ballard ne peut pas être étiqueté quand à son genre littéraire, il ne s’agit pas réellement de science-fiction sur toute son œuvre. La propreté, l’abondance, les technologies sont omniprésentes. Les singularités n’existent pas. La différence entre dystopie et utopie tient moins au contenu (car après examen, nombre d'utopies positives peuvent se révéler effrayantes) qu'à la forme littéraire et à l'intention de son auteur.Cette forme littéraire a été rendue célèbre par « Le Meilleur des mondes » en1932 d'Aldous Huxley ; » Kallocaïne » de Karin Boye en1940 ; « 1984 » en1948 de George Orwell ; « Fahrenheit 451 » en1954 de Ray Bradbury ; « Nous autres » en 1920 de Ievgueni Zamiatine...Les mondes parfois terrifiants décrits dans ces romans ont laissé à penser qu'une dystopie était, par définition, la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales.
La dystopie est un terme plus récent, crée plus tard et plus rare.
Mais ces progrès conduisent l’Homme vers la léthargie et l’apathie. Puis, il revient à Londres et écrit la tétralogie ( quatre romans éco-apocalyptique). Le monde rêvé devient par la suite cauchemar. Elle est vécue au quotidien par des habitants du lieu, qui subissent ces lois, dont on s'aperçoit alors, à leur souffrance, qu'elles ne sont pas aussi bonnes que le discours officiel le prétend.