Une autre petite case à claire-voie abrite soit une statue de bois découpé de forme humaine soit un mât dont le sommet est grossièrement sculpté. Grand-Santi (Guyane)pirogue bushinengé à moteur / Pirogue de frêt passant au large de sparouine.. Saint-Laurent-du-Maroni (Guyane)Certaines sont longues à large palette, elles sont utilisées pour propulser les grands canots.
Ces changements ont provoqué une déstabilisation de la base matérielle traditionnelle, au transfert des mentalités, à l’altération des règles de vie collective.
Pendant les guérisons, ils doivent se soumettre à des kina indiqués par le guérisseur, par exemple ne pas boire de tafia.
La forme obtenue est placée sur une plaque circulaire en métal sous le feu. Argentine - L'autre campagne : comment est le plan contre les peuples originaires Le carbet est l’habitat typique de la Guyane et de l’Amazonie, il s’agit d’une cabane en bois de planches d’essences variées, conçu pour pouvoir attacher les hamacs. Cocomagnanville a été créé en hommage à Pierre Kerhervé, mon grand-père coco qui m'a permis de devenir l'adulte que je suis. Les hamacs sont très courts pour pouvoir être accrochés facilement dans les maisons.
Devant la platine à couac, le mortier à piler le manioc, à droite, au sol, le foyer sur lequel cuit le repas, à gauche, un hamac pour la sieste.
Groupe ethnique de la Guyane française et du Surinam issus de descendants d’esclaves africains, les bushinengues (noirs des forêts) appelés aussi noirs marron.Le nom de boni qui leur a été donné leur vient d’un de leurs premiers chefs, Boni Bokilifu, un mulâtre esclave, chef de guerre qui mena des raids contre les plantations et qui fut tué par les djuka en 1791.Les ancêtres des saramaka, djuka , paramaka et boni de Guyane ont en commun les esclaves venus d’Afrique entre les années 1650 et 1800 et d’avoir conquis leur liberté dans les forêts surinamiennes.C’est dans les forêts que les bonis et les autres constituent leur propre culture basée fortement sur leurs coutumes africaines.Pour en savoir plus, une chronologie très détaillée : Histoire des marrons du Maroni en Guyane Le mode de vie des bonis a recours aux emprunts des africains leurs ancêtres ainsi que des coutumes des amérindiens du Maroni .La filiation se fait par les femmes en théorie, chaque homme et femme vit sa vie dans le village maternel.
Il est creusé avec une gouge et profilé à la hache. La nasse la plus remarquable est une nasse conique à l’extrémité fermée à laquelle est fixée une longue tige de bambou.
Consultez les annonces immobilières en Guyane. La porte ainsi que le devant du carbet sont peints et sculptés de motifs représentant la vie quotidienne des bonis.La maison carbet ne servait que de chambre à coucher et de resserre pour les objets précieux.Chaque maison comporte une pièce intérieure complètement fermé dans laquelle on ne peut pénétrer que par une porte ouvrant sur la partie avant de la maison qui joue le rôle de vestibule.Une maison construite entièrement en planches peut durer 20 à 30 ans mais la toiture de feuilles doit être changée tous les cinq ans.
Tous les repas y sont confectionnés sur un petit foyer au sol. Le père n’a qu’une autorité précaire sur les enfants, il entretient indirectement la femme et les enfants.
Les filles restent dans la cellule matriarcale, elles sont soumises à une stricte surveillance. Les hommes fabriquent des petites objets pour offrir aux femmes : pagaies minuscules, peignes immenses à la poignée chargée d’ornements, battoirs à linge garnis de clous de cuivre, le but du jeu étant que ces objets ne soient pas utilisables.C’est un bateau léger d’une quinzaine de mètres de long creusé dans un arbre appelé « Angélique ».